Les administrateurs du CDOS 83 racontent "leur" Paris 2024
Lucienne Roques, présidente du CDOS 83, Alain Abert, secrétaire général, ainsi que Marcel Albert, Gérald Henry et Patricia Justiniano, membres du conseil d'administration, étaient cet été à Paris pour assister aux Jeux Olympiques. Des souvenirs plein la tête, ils reviennent sur cet évènement « incroyable » de l'avis de tous.
Alain Abert n'était à Paris 2024 pas en tant que spectateur mais en tant qu'arbitre officiel, sur les épreuves de natation, sa discipline de prédilection. Une expérience qu'il n'est pas prêt d'oublier. « L'organisation était fabuleuse, les volontaires bénévoles formidables, toujours là pour prêter main forte, les infrastructures au top, l'ambiance merveilleuse ... et un Paris tel que je ne le reverrais sans doute plus jamais ».
S'il était aux premières loges pour assister aux exploits de Léon Marchand, il assure « ne pas avoir vu grand chose de la natation. On faisait "hôtel-piscine/piscine-hotêl" (rires). On était là pour travailler et on changeait de poste tous les jours. C'était très sérieux, on se faisait même réprimander quand on parlait une autre langue que l'anglais (rires). Heureusement que je révisais mon anglais depuis un an et demi ». Il a pu cependant profiter en tant que spectateur d'autres disciplines, comme le basket, le volley, le water polo.
En tant que fan de sport en général, Marcel Albert, président du comité départemental de tir à l'arc, ne pouvait pas passer à côté de l'évènement.
« J'en ai profité à fond. J'avais la chance d'être hebergé par la famille et j'ai donc passé 10 jours fabuleux. J'ai assisté à des épreuves de tir à l'arc bien sûr, mais aussi de hand, de rugby à 7 au Stade de France, de golf à Saint-Quentin-en-Yvelines, de l'aviron et du canoë à Vaires-sur-Marne où il y avait une vraie proximité avec les athlètes ».
Il retiendra « l'ambiance et l'organisation incroyables et le gros boulot des bénévoles ». Ainsi que « l'importante sécurité ».
N'ayant pas pu rester très longtemps sur place, Patricia Justiniano admet que son séjour à Paris était « très intense ». « J'ai assisté à des matchs de handball évidemment et à d'autres épreuves comme du badminton mais j'ai surtout profité du Club France avec des amies. C'était un endroit grandiose, avec les sportifs et un public au top. J'ai trouvé ça fabuleux, surtout pour les gens qui n'avaient pas pu avoir de places sur les compétitions ».
Lucienne Roques s'est elle aussi rendue au Club France. « Là-bas, on pouvait suivre les compétitions sur les écrans. Le lieu était incroyable et très sécurisé et j'ai été très bien reçu par les équipes du CNOSF. J'ai pu faire le tour des diverses animations avec tous les stands de partenaires et eu la chance d'assister à la soirée des nageurs dans une ambiance de folie».
Ayant passé beaucoup de temps dans la capitale, elle reconnaît « avoir beaucoup apprécié l'évolution de la capitale, avec des rues et un métro impeccables, sans rames bondées, sans attente dans les stations, du personnel aimable et prêt à rendre service partout, de panneaux explicatifs renouvelés... Accompagné d'une très importante surveillance bienveillante de sécurité. On en redemande ! (rires) ».
Président du comité départemental de volley-ball, Gérald Henry et sa femme ont passé cinq jours dans la capitale et lui aussi en garde un souvenir « extraordinaire ». « Paris 2024 a mis la barre très haute sur l'ambiance, les cérémonies, les compétitions et les lieux. Le beach volley avec la Tour Eiffel derrière, c'était phénoménal. L'organisation était super et tous les gens qui oeuvraient pour Paris 2024 étaient très disponibles ».
Ils ont suivi différentes disciplines urbaines au parc de la Concorde, sont passés au Club France et ont évidemment assisté aux compétitions de volley, en salle et en beach. « Je n'ai pas eu la chance de voir jouer la France mais l'ambiance était quand même dingue, avec beaucoup d'animations autour des épreuves grâce aux mascottes et aux volontaires qui faisaient participer les spectateurs ... »
|
.jpg){kind=logo}
